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Titre : The Legend Of Zelda : A Link To The Past / The Four Swords
Sorti le 28/03/03 en Pal
Developpé par Nintendo
Existe en : jap/us/fr
Nombre de Cartouche: 1
Console : GameBoy


Après la critique du dernier volet sur GameCube, je me suis dit que continuer par un test d’un autre opus de la série ne serait pas un mal, étant donné que l’on est encore dans le bain :p. Attaquons sans plus attendre le test de ce remake GBA.


Avant toute chose, je vais faire ce test en deux parties : une première consacrée au remake de A Link To The Past, et la seconde traitera de l’étonnant Four Swords.

une conversion parfaite

Pas la peine de maintenir un semblant de suspens : oui, le jeu est la parfaite conversion de la version Super Famicom. Il est aussi beau, le son est aussi bien restitué ( on a eu peur pendant un instant à cause du processeur sonore GBA ), et est intégralement traduit. Mais peut-être ne connaissait vous pas tous ce jeu ? Développons un peu. Sorti en 1991 sur Super Famicom, The Legend of Zelda A Link to the Past a secoué son monde. Tout d’abord au niveau de l’ambiance. Ce fut le premier de la série a autant développer l’univers d’Hyrule et sa légende. On comprend comment la Triforce a été créée, pourquoi les hommes la chercher, etc… L’introduction est à ce propos extraordinaire, sous forme de fresque historique nous contant la création de la Triforce et la bataille acharnée qu’il s’en suivit pour son contrôle ( méthode reprise par l’opus GameCube ). Le jeu débute par un soir d’orage, dans la maison d’un villageois où un message résonne : « A l’aide ! Je suis prisonnière dans le donjon du château ! Mon nom est Zelda… » Ni une, ni deux, le villageois part avec son bouclier et son épée en direction du château pour aider la jeune fille, priant le jeune elfe vivant chez lui de ne point bouger. Mais ce dernier le suit jusqu’au château et trouve son compagnon agonisant, lui confiant ses armes et sa mission. Voila notre valeureux Link équipé de ses armes partit libéré sa princesse. Après moult péripétie, il parvient à la sauver et l’emmène en sécurité au sanctuaire où il apprend que sa quête consiste à arrêter un mystérieux sorcier nommé Agahnim… Voilà pour le début de l’histoire, qui pour une fois dans un Zelda, était très passionnante, avec pas mal de rebondissements. Parlons maintenant du style graphique de ce Zelda, tout en rondeur. Bien que contrastant avec celui des autres RPG de l’époque, ce style est d’une fraîcheur inouï, et donne un côté magique au soft. La musique est elle génialissime, il suffit d’entendre le thème de la carte pour avoir envie de charcler de l’ennemi à tout va. Voila donc pour la partie A Link To The Past de ce test, qui rien qu’a lui seul justifie l’achat de cette cartouche, vu son intérêt.

A 4 C’est toujours mieux

Pour son premier coup d’essai dans le RPG multijoueurs, Nintendo réalise un coup de maître !! Ce qui surprend de prime abord, c’est le style graphique utilisé : on dirait du cell-shading pour les persos mais en 2D avec une excellente animation qui plus est !! On lance la partie pour 4 et le délire commence !!! Contre tout attente, ce mode dungon-RPG s’avère tordant du fait de la compétition pour récupérer les rubis, tout les coups bas sont permis : jeter l’adversaire dans la lave lui pique,r les coffres devant lui, ou le prendre et le jeter dans le vide ^^. Sinon vous êtes équiper comme dans le jeu à un joueur à la différence près que vous ne pouvez portez qu’un accessoire ( arc , bouclier bombe, etc … ) et qu’il faudra changer selon les situations. A noter que les donjons changent à chaque fois que vous les visitez, ce qui garantie de nouveaux challenges. Une surprise vous attends dans A Link To The Past une fois ce mode fini.

Conclusion

Cette conversion s’avère donc être une totale réussite, et l’ajout du mode 4 joueurs est une innovation à ne pas manquer dans un Zelda ( vivement la version GameCube de Four Swords ^^ )


Citan
Les graphismes nikel, la musique superbe, l'interet du mode four swords
Des donjons parfois trop dur, parfois trop faciles